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> Faits Divers > En Saône-et-Loire
25/07/2023 03:16
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LE CREUSOT - LE BREUIL : Bracelet électronique pour le conducteur qui avait refusé d'obtempérer et qui avait 1,35 gramme d'alcool

Il était aussi sous l’emprise d’alcool et de stupéfiants et il était en récidive.
Une CRPC défèrement avait lieu ce lundi 24 juillet pour le conducteur qui avait effectué un refus d'obtempérer lundi 17 juillet au soir au Creusot. En CRPC, la peine est proposée par le procureur, acceptée par le prévenu (qui est obligatoirement assisté d'un avocat), puis homologuée par un juge :
Pour refus d'obtempérer et outrages envers deux policiers du Creusot, le Creusotin qui sur l'accident avait été contrôlé avec 1,35 gramme d'alcool, qui était sous stupéfiant, et qui était en récidive, avait vu sa garde à vue levée pour raisons médicales.
Ce lundi 24 Mai il a à nouveau été placé en garde à vue, avant d'être déféré au parquet. Il a été condamné à 24 mois de prison, dont 12 mois sont assortis d'un sursis probatoire pendant 2 ans, avec obligations de suivre un stage de citoyenneté, obligation d'indemniser les deux fonctionnaires de police. Annulation du permis de conduire et interdiction de le repasser avant 6 mois. Le cadre du sursis probatoire a été effectif dès ce lundi car la partie ferme de 12 mois de prison est aménagée en détention à domicile sous surveillance électronique.



Notre article du 19 juillet :
Ainsi que creusot-infos en a rendu compte, un automobiliste a donc refusé d’obtempérer, à un contrôle de Police, lundi soir, place Schneider au Creusot. Il avait pris la fuite, traversé Le Creusot et Le Breuil à toute vitesse, pour finalement être victime d’une perte de contrôle dans la campagne au Breuil (lire notre article).
Il est utile de préciser que les Policiers n’ont pas engagé de course poursuite pour d’ailleurs l’avoir perdu de vue. Le jeune homme, qui figurait au rang des trois blessés et qui tenait des propos incohérents, avait été conduit à l’Hôtel-Dieu pour des examens de contrôle.
Cela avant d’être placé en garde à vue, alors qu’il avait été établi qu’il était bien sous l’emprise de stupéfiants, mais aussi de l’alcool.
Dans la journée de mardi, sa garde-à-vue a été levée pour raison médicale. Le médecin qui l’a vu a en effet considéré qu’il devait être à nouveau hospitalisé pour des examens médicaux. A suivre…
A.B.