Bien évidemment il a été question de vitesse et de problèmes de stationnement. Ce qui est le lot de chaque réunion de quartier. Et mardi soir à l’école Rosa Parks on a effectivement parlé stationnement et vitesse, rue Albert 1er. Avec une annonce : Sur une partie de la rue Albert 1er, non seulement la voirie va être refaite, mais la chaussée va être rétrécie pour juguler la vitesse, avec des nouveautés pour le stationnement, comme cela a été réalisé, avenue Saint-Sauveur.
On a aussi évoqué l’intersection de la rue Baptiste Marcet avec le CD1. Le carrefour devrait être reconfiguré. Mais David Marti l’a répété comme à chaque réunion : «Si on veut réduire la vitesse dans une rue, il faut changer les habitudes». Ce qui est parfois un peu compliqué… «Rue du Docteur Rebillard, tout le monde était d’accord, maintenant ce n’est plus le cas, car les habitudes ont changé».

Après la question de l’éclairage de nuit, ainsi que nous l’avons déjà évoqué (lire notre article), on a beaucoup parlé immobilier. Avec la création d’un lotissement, à la Pépinière, avec 7 parcelles rue du Tennis. Un lotissement qui sera aménagé par l’OPAC de Saône-et-Loire. Les parcelles seront de 504 à 910 m2.
Le Maire a aussi évoqué le projet Novalys. Il va voir la démolition de l’école Maternelle Mouillelongue, pour la construction de 60 logements, à savoir 18 T2, 33 T3 et 9 T4. Avec aussi les aménagements de 60 place de stationnement. Le bâtiment aura une toiture végétalisée.
Le Maire a aussi évoqué un projet d’immeuble à la Marolle, ou plutôt en face de la partie basse du parking du Bar Tabac Presse. Un projet qui devrait voir le jour rapidement. Et David Marti a aussi rappelé qu’un immeuble va être construit à la place des bâtiments des salles de réunion de l’immeuble Saint-Henri.
Interrogé sur l’ouverture de la Maison des associations Jouffroy, la fin des travaux est annoncée pour la fin avril.
Enfin, entre autre sujet, David Marti a souligné combien le site technopolitaine est important pour l’avenir du territoire. Il accueillera notamment les étudiants de l’école d’ingénieurs ESIREM.

A.B.