LE CREUSOT : Les lycéens de Léon Blum sur les traces de Thomas Pesquet

Les élèves de la classe « aéronautique et espace » (2nde 1) du lycée Léon Blum ont travaillé toute cette année scolaire autour du blob, cet être unicellulaire si particulier qui fait l’objet de nombreuses recherches depuis quelques années. Ils ont d’abord participé au projet « blob de l’espace », proposé par Thomas Pesquet en collaboration avec le CNES (Centre National d’Études Spatiale). Le but était d’effectuer au sol les mêmes expériences que celles réalisées dans l’ISS (la station spatiale internationale) par notre astronaute préféré (voir notre article ici).

Désireux d’approfondir ces premières expériences, les élèves ont poursuivi leur travail : ils ont imaginé et réalisé d’autres expériences en cours de SVT (Sciences de la Vie et de la Terre) pour en découvrir davantage sur ce mystérieux blob et ses capacités extraordinaires. Les « boites » particulières dans lesquelles ils ont mené ces nouvelles expériences ont été réalisées par les élèves de première STI2D, à l’aide d’une imprimante 3D.  
Il restait alors à présenter tous ces travaux. L’idée de confectionner un site web s’est rapidement imposée. En cours de SNT (Sciences Numériques et Technologie), ils ont appréhendé l’aspect technique de la conception de pages web, au travers des langages HTML et CSS. L’ensemble des contenus et leur structure (texte, titres, images, listes, liens, …) sont gérés dans des fichiers écrits en HTML, tandis que tout ce qui concerne la forme (couleurs, taille et format de police, bordures, marges, alignements, …) est géré dans des fichiers CSS. C’est ensuite le navigateur qui fait le travail d’interprétation. 
Au-delà d’avoir pu découvrir l’envers du décors d’une page web, les élèves sont progressivement devenus des développeurs web en herbe ! Par petits groupes, ils ont rendu compte de l’ensemble de leur travail dans différents sites web, que vous pouvez retrouver au bas de cet article.  
Une expérience globale fort enrichissante, qui illustre notamment le fait que la recherche scientifique n’est ni l’affaire d’une seule discipline, ni d’un seul homme.