
Chaque concert débute à 11 heures.
Après le succès du Plein temps des orgues qui s’est déroulé au début du mois de mai, l’association Orguissimo propose aux mélomanes trois concerts sous le nom de L’Écho du marché, les samedis 05, 19 et 26 juillet.
Comme à l’accoutumée, la programmation de ces auditions d’orgue s’harmonise avec le thème choisi par les organisateurs en début d’année. Pour cette nouvelle édition, l’association a voulu voir grand : Saint Laurent se la joue Cathédrale est donc le thème de 2025. Pour l’occasion, Orguissimo a sollicité trois organistes titulaires d’un instrument de cathédrale.
Nous pourrons ainsi entendre le
5 juillet Frédéric MAYEUR, organiste de la Cathédrale de Dijon dans des œuvres de Bach, Buxtehude, van Noordt, mais également, plus proches de nous, Litaize, Langlais ainsi que deux de ses prédécesseurs à la tribune de Saint-Bénigne : André Fleury et Yves Cuenot.
Le 19 juillet, c’est Thibaut DURET, organiste titulaire de la Cathédrale de Chambéry, qui sera aux claviers pour un programme mêlant la musique de Bach et de Buxtehude à celle d’un compositeur récemment disparu : le roumain Michael Radulescu. Ce récital se terminera par l’impressionnant Prélude et fugue que Liszt écrivit en hommage au Cantor de Leipzig en le bâtissant sur les notes formant son nom : B-A-C-H.
Le 26 juillet, ce sera Éric LATOUR, organiste titulaire de la Cathédrale d’Annecy, qui clôturera cette série de concerts. Le Prélude et fugue de Vincent Lübeck sera au centre du programme de cette audition, mais on entendra aussi J.-S. Bach, J. Pachelbel, R. Schumann, André Isoir et le facétieux Boléro du divin Mozart de l’organiste suisse Guy Bovet.
Tous les concerts ont lieu en l’église Saint-Laurent du Creusot de 11h00 à midi ; l’entrée est libre, un grand écran est installé dans la nef et permet de suivre le jeu de l’organiste pour un plus grand confort. Malgré les travaux, de nombreux stationnements sont disponibles: rue Marcel Sembat, avenue Jean Monnet (parking), rue Jean Jaurès et rue du Maréchal Leclerc.
Nul doute que ces trois musiciens fassent sonner de façon très différente l’instrument creusotin : il ne faut donc pas se priver de venir les écouter ces trois samedis de juillet !
